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L’Iran en images : religionsUn tour illustré de l'Iran/3

par Cosimo Nocera | 3 novembre 20170 commentaire

L’Iran en images

Cette série de contributions est composée de 12 articles, à savoir :

1. Jardins et bazar

2. La rue, l’alimentation

3. Religions

4. Villes et constructions dans le désert

5. Déserts, caravansérails

6. Trois palais

7. Place de l’Imam, à Esfahan : deux mosquées

8. Trois mausolées

9. Deux mosquées, à Shiraz et à Yazd

10. Adaptation à l’environnement géographique

11. Vieilles villes

12. Hammam, zurkhaneh

L’Eglise apostolique arménienne : Cathédrale Vank ou du St Sauveur, XVIIe, située dans le quartier arménien de la Nouvelle-Djoulf, à Esfahan

: Kelisa-ye vank, vue de l’extérieur; au premier plan la statue de l’archevêque David XVII

: Croix arménienne à l’entrée de l’église

: Kelisa-ye vank, clocher à l’entrée de l’enceinte de l’église

: Kelisa-ye vank, vue de l’intérieur

: Kelisa-ye vank, dôme

: Kelisa-ye vank, clocher

: Kelisa-ye vank, mosaïque au-dessus du portail d’entrée

: Kelisa-ye vank, mosaïque extérieure représentant l’Annonciation

: Kelisa-ye vank, portail de l’église, fresque représentant des anges

: Kelisa-ye vank, intérieur de l’église, fresque du Jugement Dernier

: Kelisa-ye vank, intérieur de l’église, chapelle et fresques

: Kelisa-ye vank, intérieur de l’église, chapelle et plafond

: Kelisa-ye vank, intérieur de l’église, fresque représentant un ange

: Kelisa-ye vank, intérieur de l’église, plafond

: Prélat et sa suite en visite

: Kelisa-ye vank, Musée de l’histoire arménienne

L’Eglise zoroastrienne Atashkadeh, 1934, à Yazd, abritant le Feu Sacré Atash Behram (Feu victorieux)

: Atashkadeh avec étang

: Symbole d’Ahura Mazda (Seigneur de la sagesse), dieu du Zoroastrisme

: Bâtiment de l’Atashkadeh

: Portrait de Zoroastre

: Atash Behram, Feu Sacré des Zoroastriens remontant à 470 apJC

: Prêtre zoroastrien alimentant le Feu sacré

: Atashkadeh, visiteurs

: Atashkadeh, deux visiteuses

Dakhmeh-ye Zartoshtiyan, Yazd

Les deux Tours du silence, qui se trouvent sur deux collines dénudées, dans une aire désertique au Sud de Yazd, appartiennent au culte zoroastrien.

Pendant des siècles, les corps des défunts y étaient déposés pour être décomposés par les forces de la nature. Dans les années 1960, le Gouvernement iranien a fermé ce site qui de nos jours reste toutefois ouvert aux visiteurs.

Sur le site on trouve aussi quelques anciens bâtiments destinés à la préparation rituelle des corps, ainsi qu’un réservoir d’eau entouré de deux badgir de refroidissement (cf. article « Maîtrise de l’environnement »). A proximité se trouve le cimetière zoroastrien moderne.